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Le Sexe, les mensonges et le féminisme

par Peter Zohrab

Traduit de l'édition en anglais de 1999 par l'auteur

Chapitre 12: Le Langage sexiste: Est-ce que la diable pense qu'elle soit mâle?

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0. Définition

«Ovaries»: mot politiquement correct anglais qui veut dire «non-sens», comme, par exemple, dans la phrase «What a load of ovaries!»1   (Un lecteur anglophone saurait probablement que ceci n'est pas vrai, mais qu'on fait allusion à l'expression «Balls!» (testicules), qui veut dire «non-sens».  On plaisante).

 

1. Introduction

Beaucoup de féministes ont soutenu que Dieu ne devrait pas être considéré uniquement comme être masculin. Certaines ont même fait référence à Dieu en utilisant le mot «Elle». Mais je n'ai jamais entendu de référence féministe au diable qui utilisait le mot «Elle». Pourquoi?  Il est bien évident que la plupart des féministes sont biaisées, unilatérales, et anti-mâles.  Elles veulent que seulement les bons aspects de la vie soit femelles! Cette unilatéralité méchante rend certaines féministes semblables au diable, à mon avis.

 

2. Les Questions en jeux

À l'occident, tout le monde est sans doute déjà au courant de la politique normale féministe sur «langage sexiste» - dans le cas des noms de profession, en particulier. Un exemple de cette utilisation par les gouvernements de la politique féministe sur le langage sexiste est la brochure «Faites attention à votre langage» 2.

Cette brochure suggère, par exemple, que l'on remplace les mots à gauche par les mots à droite:

 

(MAUVAIS)

(BON)

draughtsman

draughtsperson

stockman

rancher

tradesman

skilled worker

milkman

milk vendor

repairman

repairer

slaughterman

slaughterperson

fireman

firefighter

(Etc)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La raison principale invoquée pour ce changement forcé de vocabulaire est que l'utilisation d'une appellation professionnelle qui a des accents masculins fait des distinctions désavantageuses aux femmes, en laissant entendre qu'elle ne s'applique qu'aux hommes. Cela décourage apparemment les femmes de poser sa candidature à de tels emplois, et il rend moins probable que quelqu'un puisse les embaucher à ces sortes d'emplois.

Le livret de la State Services Commission cite des recherches qui montrent que les mâles et les femelles s'intéressent davantage aux annonces des emplois si l'appellation professionnelle est neutre que si elle semble inclure le sexe opposé seulement. C'est un argument valable.

Mais la plupart des professions concernées ne sont pas attrayantes pour la plupart des femmes, de sorte que les changements de nom peuvent sembler à certaines personnes être un gaspillage de temps, d'efforts et d'argent. Il n'est pas le cas que toutes les professions essentiellement masculines soient mieux payées et plus attrayantes que l'ensemble des professions essentiellement féminines! Un grand nombre d'entre elles sont sales, dangereuses et mal payées. Beaucoup plus d'hommes que de femmes meurent à la suite des accidents liés à l'emploi. Ceci, en soi, est une affaire qui concerne les droits masculins.

 

3. Les Double standards

Mais la campagne féministe pour éliminer le langage sexiste ne s'applique pas uniquement aux appellations professionnelles. Des mots tels que «chairman», «spokesman» (qui, souvent, n'indiquent pas de vraies occupations), et même des termes tels que «chick» (en référence à une femme) sont sous le feu des féministes. J'ai ma propre campagne pour éliminer le double standard que pratiquent certaines stations de télévision, en particulier, en ce qui concerne le langage sexiste en général. J'ai écrit à des organismes de radiodiffusion, donné des conférences lors de séminaires et de congrès de Linguistique, publié des articles à l'Usenet, et écrit un article de journal à ce sujet.

Certaines stations évitaient les mots (tels qu'«actrice»), auxquels les féministes étaient opposées -- mais elles continuaient à utiliser des mots sexistes tels que «gunman», au lieu de dispositifs neutres alternatifs, tels que «gunperson», «gunner», ou bien «shooter». Si un mot est péjoratif uniquement à de simples hommes, alors elles étaient parfaitement prêtes à l'utiliser. Une grande partie de l'attrait de la plupart des acteurs et des actrices est en fait leur sex-appeal. En fait, je le trouve choquant si j'entends qu'on appelle des actrices séduisantes des «acteurs», ce qui est un terme se référant correctement aux hommes.

Le mot «gunman» dénigre tous les hommes, car il implique que seuls les hommes aient l'habitude de tuer des gens avec des fusils. C'est un cas parallèlle au mot «chairman», qui d'après les féministes discrimine contre (toutes) les femmes, car il implique que seuls les hommes soient des présidents de réunions.

La différence y est que les féministes veulent que les femmes soient considérées comme de «chairpersons», et ainsi de suite, potentielles, mais elles sont assez heureuses si les hommes sont les seuls à être considérés comme de «gunmen» potentiels, parce que ce mot a des connotations négatives. Les féministes disent souvent qu'elles ne désirent que l'égalité, mais des questions telles que le langage sexiste le rendent évident que c'est un mensonge. Les féministes ne sont qu'un groupe politique qui favorise les femmes, et elles devraient être traitées d'une manière appropriée.

Voici un passage du livre féministe, Woman's Consciousness, Man's World, par Sheila Rowbotham (1973, Baltimore: Penguin Books):

«Le langage de la théorie - le langage retiré - n'exprime qu'une réalité vécue par les oppresseurs. Il ne parle que de leur monde, de leur point de vue.  En fin de compte un mouvement révolutionnaire doit briser l'emprise du groupe dominant sur la théorie, il doit structurer ses propres connexions. La langue fait partie de la puissance politique et idéologique des dirigeants.» (pages 32-33)

Aussi étrange que cela puisse paraître, je suis d'accord avec une grande partie de ce passage. Le problème maintenant est que le langage de la politique des sexes est surtout le langage des Féministes. Il exprime essentiellement la réalité que les féministes estiment qu'elles éprouvent. Il ne parle que de leur monde, de leur point de vue. Ce sont elles, avec leurs départements d'Études de Femmes, leurs médias dominés par les Féministes, et leurs Ministères des Affaires Féminines -- ce sont elles qui sont les oppresseuses, en ce qui concerne la politique de genre, dans les sociétés occidentales modernes.

Presque toutes les sociétés, n'importe où, ont été loin d'être si monolithiques et totalitaires que les dirigeants de l'état (qui ont été, et sont encore, surtout de sexe masculin) puissent aussi contrôler les sous-cultures qui contrôlaient la théorie abstraite. La société a généralement été assez décentralisée pour permettre au moins une certaine mesure (une mesure généralement gigantesque) d'autonomie aux artistes et aux universités, etc. qui contrôlaient la théorie abstraite. Ainsi, les oppresseurs auxquels Rowbotham aurait dû penser sont ceux qui contrôlaient la théorie abstraite. Et ceux-ci sont de plus en plus les Féministes.

Par conséquent, en fin de compte, le mouvement des hommes doit briser l'emprise des Féministes sur la théorie du genre, il doit structurer ses propres connexions. Le langage Féministe, avec ses hypothèses intégrées, fait partie de la puissance politique et idéologique de nos gouvernants -- d'abord des dirigeants de la théorie politique dans le milieu universitaire, et maintenant aussi, de plus en plus, de nos dirigeants politiques aussi.

Pourquoi les agences gouvernementales et les médias commandent à leurs employés d'utiliser des mots comme «chairperson» et «slaughterperson», lorsqu'ils sont très contents de continuer à utiliser des mots à connotation négative comme «gunman»? La réponse est que l'ordre du jour «langage sexiste» a été écrit par des groupes de pression Féministes.

Les Féministes pensent qu'il soit OK d'utiliser un mot sexiste comme «gunman», car les seules personnes qu'il défavorise sont les hommes -- il donne l'impression que toutes les personnes qui utilisent des armes agressivement sont des hommes. D'autre part, on ne doit pas dire «slaughterman» ou «chairman», parce que ce serait discriminatoire à l'égard des femmes -- ça pourrait faire croire que les femmes étaient moins bien que les hommes pour ces postes. Combien de femmes veulent pratiquent ou pratiquent ces professions réellement est réputé être hors de propos. Donc, il devrait également être hors de propos combien de femmes utilisent effectivement des armes de manière agressive.

Dans le case de beaucoup des professions concernées, après tout, très peu de femmes sont susceptibles d'être jamais impliquées, de sorte que le changement de nom peut sembler à certaines personnes être un gaspillage de temps, d'efforts et d'argent. Il n'est pas le cas que toutes les professions essentiellement masculines soient mieux payées et plus attrayantes que l'ensemble des professions essentiellement féminines!

Ils ne semblent pas se soucier cependant si un homme est appelé un «hunk». Les annonceurs sont terrifiés par les groupes de pression Féministes, donc la télévision est pleine de références à des «hunks».

On entend rarement, sinon jamais, des mots d'argot qui décrivent des femmes, tels que «birds» ou bien «chicks», à la télévision. C'est un exemple du double standard des pouvoirs établis sur le langage sexiste. Ce n'est pas seulement un lapsus, ou une incohérence accidentelle.

Les féministes des pouvoirs établis sont déterminées à soutenir le mythe que seules les femmes -- jamais les hommes -- sont opprimées dans la société. En Nouvelle-Zélande, par exemple, leur influence semble être forte chez la TVNZ, chez TV3, et chez la Broadcasting Standards Authority.

Le Code de la Broadcasting Standards Authority sur la radiodiffusion interdit la représentation des personnes d'une manière qui encourage le dénigrement de, ou la discrimination contre, des sections de la communauté en raison du sexe. J'ai écrit à la TVNZ et à la TV3 pour me plaindre de l'utilisation sexiste du mot «gunman» dans un de leurs programmes d'information. J'ai suggéré qu'ils devraient utiliser le mot «gunperson».

Et TV3 et TVNZ ont rejeté ma plainte. TVNZ a dit que le mot «gunman» était tout simplement factuel et descriptif. La personne qui a effectué l'action de tirer l'a fait avec une arme à feu, et cela a été un homme. Ils ont dit qu'ils avaient évité les mots comme «actress», «waitress», et «hostess», parce que le sexe de la personne n'était pas pertinente à la profession. A aucun moment ont-ils essayé d'expliquer pourquoi il était pertinent de préciser qu'une «gunperson» était de sexe masculin, plutôt que de sexe féminin.

Mais il serait également «factuel» de décrire Audrey Hepburn, par exemple, comme «actress» -- mais TVNZ avait introduit une politique en vertu de laquelle elle aurait été décrite comme «actor». C'est moins factuel et moins descriptif qu'«actress», parce qu'Audrey Hepburn était membre de la profession de comédien, et elle était aussi une femme.

TVNZ a délibérément censuré le fait que c'était une femme, en dépit du fait qu'une grande partie de l'appel de la plupart des acteurs et des actrices est en fait leur sex-appeal. En fait, je trouve choquant d'entendre des actrices séduisantes décrites comme «actors", ce qui est un terme qui se réfère correctement aux hommes.

TV3 a donné un argument un peu confus en rejetant la plainte. Mais, fondamentalement, ils ont dit que peu d'hommes auraient été dénigrés par l'utilisation du mot «gunman», et que c'était un argument purement «académique». Mais le mot «gunman» dénigre tous les hommes, car il implique que seuls les hommes tuent des gens avec des fusils. C'est exactement pareil au mot «chairman», qui, d'après les féministes, discrimine contre (toutes) les femmes, car il implique que seuls les hommes soient des présidents de réunions.

La différence était, comme je l'ai dit plus haut, que les Féministes veulent que les femmes soient considérées comme étant des «chairpersons» potentiels, mais elles sont assez contentes si seuls les hommes sont considérés comme étant des «gunpersons» potentiels, parce que ce mot a des connotations négatives. Toute la politique sur le langage sexiste était à l'origine un argument théorique. Ce qui est important c'est que, là où cela convenait aux Féministes, elle a été mise en œuvre dans le monde réel.

J'ai porté mes plaintes contre TVNZ et TV3 auprès de la Broadcasting Standards Authority. Le formulaire sur lequel on porte ces sortes de plaintes donne la possibilité de demander de mettre son dossier en personne, donc j'ai fait une demande de présenter mon argumentation en face-à-face. Cette demande a été refusée, sans aucune raison donnée. La BSA a ensuite rejeté l'argument entier comme étant hors de propos. En outre, à la suggestion de TVNZ, il a exercé ses pouvoirs en vertu de la loi sur la radiodiffusion pour statuer ma plainte irrecevable au motif qu'il fût «négligeable».

Depuis son commencement au début de 1990 jusqu'au début de mai 1993, la Broadcasting Standards Authority (BSA) a traité avec 256 décisions formelles. Dans tous les cas, la décision a été signée par «Iain Galloway, Chairperson». Ce qui est évident est que la BSA elle-même ne considère pas la question du langage sexiste comme étant négligeable. Si elle l'aurait considéré ainsi, M. Galloway aurait signé parfois en tant que «Chairman», parfois en tant que «Chair», et parfois en tant que «Chairperson». Sa constance absolue sur ce point montre que la BSA a pris le langage sexiste très au sérieux -- à moins qu'il ne discrimine que contre les hommes.

Cependant, j'ai été heureux de voir à la page 13 de l'édition du 17 Janvier 1998 du Listener un article intitulé «PC come, PC go». Il a déclaré:

«Est-ce que les murs de la rectitude politique commencent à s'effondrer -- même dans ce bastion PC de Wellington?  Un décalage petit mais significatif a été noté à la cérémonie à la capitale des derniers Prix du Théâtre Chapman Tripp.  Pendant les quatre premières années de ces prix, les premiers prix individuels ont été accordés au «Best Male Actor» et à la «Best Female Actor» -- en accord avec le point de vue officiel de la profession selon lequel le mot «actress» est un terme sexiste.  Ce n'est plus le cas!  Lorsque la vedette de «Herbal Bed», Michele Amas, a monté l'estrade pour recevoir son prix, c'était le prix accordée à la «Best Actress». ...»

Puisque je suis la seule personne dont j'aie jamais entendu parler qui ait monté une campagne pour demander que les actrices soient appelées des «actresses», je dois me sentir justifié de m'attribuer une partie du mérite de ce changement.

 

4. La Capture linguistique

Mon point de départ ici est un article paru en 1989 par Janet Holmes, sociolinguiste bien connue et féministe. L'article, intitulé L Linguistic Capture: Breaking out of the langage Trap, a attaqué l'effet allégué sur la pensée des gens de la terminologie économique «Nouvelle Droite», d'une part, et de ce qu'on appelle «le langage sexiste", de l'autre part.

Cela impliquait que l'auteur et ses lecteurs se trouvaient vers une extrémité du spectre politique, et que les «sexistes» et la Nouvelle Droite se trouvaient ensemble près de l'autre extrémité. Mais il n'y a pas de pénurie de féministes de droite. Le féminisme a été associé avec l'aile gauche parce que la gauche tend à trouver des catégories de gens «opprimés» sous chaque lit -- et  non pas à cause de la logique des idéologies respectives.

Certes, le Masculisme, à mon avis, peut faire appel à n'importe quelle partie du spectre politique. Une fois que les hommes sont reconnus comme étants opprimés (à certains égards), je souhaite vivement que ces gauchistes qui s'opposent à toutes les formes d'oppression se rallieront à nous soutenir.

Bien que Janet Holmes ne définît pas le terme Capture linguistique dans cet article, je considère que la capture linguistique est simplement un cas particulier -- appliqué dans le domaine de la propagande et de l'idéologie -- de l'acte créateur que tout être vivant fait quand il modifie ou transforme son environnement sensoriel -- soit sensoriellement, physiquement, verbalement, ou de toute autre manière. En ce sens, les artistes «capturent» leur environnement quand ils le dépeignent. Nos yeux et notre cerveau «capturent» une partie de l'environnement quand ils interprètent un dessin comme étant (dans l'exemple célèbre des illusions optiques), soit deux visages noirs soit un chandelier blanc. Et une théorie scientifique (y compris une théorie linguistique) donnée «capture» la réalité d'une manière qui diffère de la façon dont le font d'autres théories.

Malgré le fait que mon point de vue est celui d'un un Masculiste, je me trouve en accord avec une grande partie de ce que Janet Holmes écrit, par exemple:

«... la croyance que le langage influe sur nos perceptions du monde, qu'il influe sur la notre façon de voir la réalité, et peut servir à maintenir et à renforcer les inégalités et les déséquilibres existants. » (page 18)

et

«Il y a des voies d'évasion. Des étiquettes alternatives sont disponibles. Il n'y a pas qu'une seule façon de décrire le monde, et nous ne sommes pas obligés d'accepter la perception d'une personne quelconque de ce qui se passe. En effet, on peut raisonnablement soutenir la proposition que changer le langage est une stratégie possible pour modifier les attitudes et les perceptions du monde. »

et aussi:

«... Les changements que nous faisons, tels que l'utilisation délibérée de la terminologie non-sexiste, sont des choix importants qui reflètent le désir de défier le statu quo politique.»

et enfin:

«... Nous devons être constamment vigilants pour que nous ne permettons pas que les relations de pouvoir injustes soient reproduites par une acceptation irréfléchie d'une représentation particulière de la réalité. Nous avons besoin de ne pas être contrôlés et opprimés par les modèles de notre langue. Nous avons toujours un choix. Ce qui est important, c'est que nous l'exerçons.»

Naturellement, j'applique les principes et les idées que je viens de citer d'une manière contraire à la façon dont le font les féministes. Ainsi je vois le terme «sexiste» (pas en soi, mais seulement dans la façon dont il tend à être utilisé pour décrire tout ce que les féministes désapprouvent) comme servant «à maintenir et à renforcer les inégalités et les déséquilibres existants.»

Prenons un exemple qui vient des médias de masse, qui semblent être à peu près sous le contrôle totalitaire des Feminazis. Au début de 1990 il y a eu un cas très médiatisé d'un homme qui avait assassiné au Canada des étudiantes en génie au hasard parce que (d'après ce que les médias m'ont informé), c'était un Anti-Féministe. Bien qu'il se soit ensuite tué soi-même, mon but n'est absolument pas de l'acclamer comme étant le premier martyr connu de la résistance Anti-Féminazi, ou quelque chose de la sorte.

L'important c'est que j'ai entendu plus tard une autre version de cette nouvelle dans un autre bulletin d'informations, où cet homme a été tout simplement et avec désinvolture décrit comme «sexiste».  Je n'ai appris ni à ce moment, ni à aucun autre moment rien qui pourrait conduire à conclure rationnellement qu'e c'était en fait un «sexiste», par opposition à un Anti-Féministe. Les deux termes ont été tout simplement utilisés comme équivalents. Et je n'ai jamais su pourquoi il était anti-féministe, ni ce qu'était son idéologie à lui. (Beaucoup plus tard -- après avoir écrit ces mots -- j'ai reçu des renseignements sur lui.)

Les inégalités et déséquilibres qui existent dans la société néo-zélandaise en particulier, et dans la société occidentale en général, où les femmes sont désignées comme «minorité opprimée» (alors qu'elles sont en fait une majorité privilégiée), sont maintenues et renforcées par l'utilisation du terme «sexiste» pour supprimer l'expression des opinions Anti-Féminazies.

Il y a beaucoup de subjectivité inhérente lorsque l'on décide quand et où la référence au sexe et/ou au genre est appropriée ou non. Par exemple, regardons les exemples que Vetterling-Braggin (Sexist Language: a Modern Philosophical Analysis. Totowa, New Jersey:Rowman and Littlefield 1981) utilise pour introduire le sujet du sexisme:

L'affirmation selon laquelle nous sommes d'habitude capables de distinguer les phrases «sexistes» des phrases «non-sexiste» n'est pas déraisonnable. Par exemple, dans le cas des phrases:

1) «Les femmes conduisent terriblement.»

2) «C'est une pépée formidable.»

3) «Certaines femmes conduisent mal.»

4) «C'est une femme attirante.»

il est probable que la plupart d'entre nous choisirait 1) et 2) comme étant «sexistes» et 3) et 4) comme étant «non sexistes».

Nous considérions probablement aussi comme «sexistes» les déclarations faites en vertu de l'utilisation (c'est-à-dire en écrivant, en tapant à une machine, en disant, etc) des phrases 1) et 2), mais nous considérions probablement celles qui sont faites en vertu de l'utilisation des phrases 3) et 4) comme «non sexistes». (page 1)

Je me trouve en désaccord complet avec sa catégorisation.   Les études de la Ministère de Transport et des compagnies d'assurance arrivent régulièrement à la conclusion que les jeunes hommes sont plus souvent impliqués dans des accidents de voiture que le sont  les groupes de la population qui sont d'autres âges ou de l'autre sexe. Je ne pense pas que quelqu'un puisse prétendre que cette conclusion est sexiste. Je doute que les féministes considèrent qu'il serait «sexiste» de dire que les jeunes hommes conduisent mal.

De même, je pense que tout le monde a le droit de dire que les femmes conduisent mal, si c'est ce qu'ils pensent réellement, sans être accusé de sexisme. Ils peuvent avoir tort, mais ils ne devraient pas être intimidés de le dire. Il me semble tout à fait probable que les femmes, dans l'ensemble, ont tendance à commetre de différents types d'erreurs de conduite (qui sont probablement moins dangereuses que celles que font les jeunes hommes), et ainsi que certains hommes pourraient avoir une opinion négative des femmes qui sont au volant parce que les erreurs qu'elles font sont différentes, et donc plus évidentes, de celles que commètent d'habitude les hommes eux-mêmes. La phrase,

3) «Certaines femmes conduisent mal.»

n'est pas un vrai équivalent, car il manque l'implication que la plupart des femmes, sinon toutes les femmes, conduisent mal, et aussi les connotations émotives du mot «terriblement». On est en droit de ressentir et d'exprimer de l'émotion quand on pense aux gens qui conduisent mal, parce que la mauvaise conduite peut être dangereuse et conduit à la frustration et la rage au volant.

De même, pour catégoriser la déclaration

2) «C'est une pépée formidable.»

comme «sexiste» est d'ignorer totalement les facteurs de style et de contexte évidents. Pour un homme qui est attiré sexuellement à une femme, en particulier, il peut n'y avoir pas d'autre moyen stylistiquement et émotionnellement approprié pour lui d'exprimer ses émotions à son sujet à ses pairs. Il est tout simplement ridicule de supposer, comme Vetterling-Braggin semble le faire, que ce mâle hypothétique aurait tout aussi bien pu dire:

4) «C'est une femme attirante.»

Une femme hétérosexuelle peut dire cela au sujet d'une autre femme, mais un homme hétérosexuel devrait exercer de la maîtrise de soi et de la réserve pour pouvoir s'exprimer dans ces termes neutres, quasi-objectives. L'attitude implicite dans l'approche de Vetterling-Braggin semble être que les hommes ne devraient avoir, et ne devraient exprimer que les attitudes envers les femmes que les femmes elles-mêmes ont à l'égard d'autres femmes. Je trouve cela non seulement totalement inacceptable, mais aussi tout à fait irréaliste (et réellement «sexiste» en soi!).

Je pense qu'il est important de voir comment ce terme est utilisé en dehors du milieu universitaire et pour cela nous n'avons qu'à consulter un dictionnaire ordinaire, tel que le Dictionnaire Merriam-Webster (1974), qui comprend l'écriture suivante :

«*sex.ism ... n : prejudice or discrimination against women.»

La caractéristique la plus intéressante de cette définition, de mon point de vue, est le fait que, contrairement à certaines Féministes universitaires, elle ne se dérange pas pour admettre symboliquement que le «sexisme» peut affecter les hommes tout aussi bien que les femmes. Ainsi, si je voulais faire valoir (par exemple) qu'il est «sexiste» (dans le sens de «discriminatoire à l'égard des hommes») de proposer une législation d'équité au travail sans aborder les inégalités subies par les hommes dans la société, alors je n'aurais pas seulement tort, sans doute, mais je ne parlerais même pas correctement l'anglais, selon quelques dictionnaires. Je n'ai pas fait une enquête auprès des dictionnaires à cet égard -- je m'attends à ce qu'ils varient beaucoup.

Je reviens maintenant au deuxième passage de l'article de Janet Holmes que j'ai cité, et je le répète ici:

«Il y a des voies d'évasion. Des étiquettes alternatives sont disponibles. Il n'y a pas qu'une seule façon de décrire le monde, et nous ne sommes pas obligés d'accepter la perception d'une personne quelconque de ce qui se passe. En effet, on peut raisonnablement soutenir la proposition que changer le langage est une stratégie possible pour modifier les attitudes et les perceptions du monde. »

N'importe qui peut jouer à ce jeu. En utilisant des termes tels que «Féminazi» et «Masculiste», les hommes peuvent commencer à s'affirmer et à acquérir certains droits -- même aux pays occidentaux. Le problème, c'est que le Féminisme, étant essentiellement une forme de grondement organisé, met les femmes dans un rôle traditionnel, habituel, alors qu'il est «peu viril» pour les hommes d'attaquer les femmes (même les Feminazis) comme je le fais. Ce n'est pas très macho pour un homme de faire l'équivalent politique d'admettre qu'il ne porte pas la culotte chez lui -- c'est à dire admettre que les femmes sont beaucoup plus puissantes que les hommes dans les sociétés occidentales. Cependant, l'ordre du jour féministe n.a pas de limites. Il n'y a aucune limite aux moyens dont le statut des hommes peut être endommagé dans les sociétés occidentales, à moins que les hommes n'adoptent des tactiques semblables à celles des Feminazis. Il nous faut donc plus d'hommes qui sont assez homme pour tolérer la médisance et le jappement des roquets qui essaient de mordre les talons de tous ceux qui essaient de défendre les droits humains légitimes des hommes.

Maintenant nous allons regarder à nouveau la troisième citation de l'article de Janet Holmes:

«.«... Les changements que nous faisons, tels que l'utilisation délibérée de la terminologie non-sexiste, sont des choix importants qui reflètent le désir de défier le statu quo politique.»

Le statu quo politique dans le monde occidental en général est, dans une large mesure, un statu quo féministe. Cela peut se voir si on le compare avec la situation qui prévalait il ya quelques décennies.

Je vais conclure cette section en approuvant chaleureusement les sentiments exprimés dans ma quatrième et dernière citation de l'article de Janet Holmes:

«... Nous devons être constamment vigilants pour que nous ne permettons pas que les relations de pouvoir injustes soient reproduites par une acceptation irréfléchie d'une représentation particulière de la réalité. Nous avons besoin de ne pas être contrôlés et opprimés par les modèles de notre langue. Nous avons toujours un choix. Ce qui est important, c'est que nous l'exerçons.»

 

5. Le Pouvoir et le langage

Elshtain (1982) est un autre oeuvre féminazi sur la relation entre le pouvoir et le langage.  Il cite, apparemment avec approbation, le passage suivant de Rowbotham (1973):

«Le langage de la théorie -- le langage éloigné -- n'exprime qu'une réalité vécue par les oppresseurs.   Elle ne parle que de leur monde, de leur point de vue.  En fin de compte, un mouvement révolutionnaire doit briser l'emprise du groupe dominant sur la théorie,  il doit structurer ses propres connexions. Le langage fait partie du pouvoir politique et idéologique des dirigeants.» (pages 32-33)

Dans le cadre du Feminazisme, cependant, cet argument peut être renversé: puisque la grande majorité de la théorie sur la politique sexuelle a été développée par les Feminazis, on peut conclure à partir de la citation ci-dessus que l'ordre du jour de la politique sexuelle est fixé par des Feminazis, et ce sont les Feminazis qui oppriment les hommes, dont le point de vue n'est que rarement entendu ou propagé.

Penelope («Speaking Freely: Unlearning the Lies of the Fathers' Tongues.» New York: Pergamon. 1990) affirme que certains mots sont des insultes en vertu d'être des «mots féminins».  Elle cite les mots «motherfucker», «son of a bitch», «bastard», «sissy» et «cunt». Comment peut-elle expliquer, alors, que le mot «prick» (signifiant «pénis") soit utilisé comme insulte? Si les mots féminins sont insultants, comme elle le dit, comment est-ce qu'un terme très masculin comme «prick» peut être une insulte?

Quoi qu'il en soit, le mot «motherfucker» implique deux personnes -- dont un seul est une femme. De même avec «son of a bitch». Le terme «bastard» n'est pas autant une référence à la mère mais plutôt une référence au statut juridique de l'enfant. Le terme «sissy» a son équivalent «tomboy», et (comme nous l'avons vu), le mot «cunt» a sa contrepartie «prick». L'argument de Pénélope, comme beaucoup d'arguments Féministes, ne résiste pas à l'examen. Ils ont seulement été publiés et diffusés parce que les hommes honnêtes et intelligents ont été trop occupés ou trop effrayés pour les examiner.

 

6. Le Langage sexiste en chinois et en allemand

Le Féminisme et l'Internet sont pareils: la langue qu'ils utilisent tous les deux la plupart du temps est l'anglais. Ce ne sera peut-être pas toujours le cas dans l'avenir. En reconnaissance du fait que la Conférence Internationale de 1995 sur les Femmes s'est tenue à Beijing, je voudrais jeter un oeil à la question du «langage sexiste» en deux langues autres que l'anglais -- le chinois et l'allemand.

En chinois, les termes professionnels sont pour la plupart construits en ajoutant un suffixe neutre (tel que «yuan», «ren», ou bien «jia») à la fin d'un mot qui nomme l'activité ou la sphère que le travail implique. Par exemple (je ne prends pas compte des marques de tonalité dans ma transcription),

 

ACTION

PROFESSION

shou huo (vendre)

shouhuoyuan (vendeur/vendeuse)

gong (travail, industrie)

gongren (ouvrier)

zuo (faire, créer)

zuojia (auteur)

 

 

 

 

 

 

Si l'on veut préciser le sexe de la personne concernée, en chinois, on doit en fait y ajouter un mot de plus.

L'allemand est une langue qui est étroitement liée à l'anglais, mais une différence qui existe entre les deux langues est la terminaison allemande normale «-in», que l'on peut mettre à la fin de tous les substantifs masculins, afin de les rendre féminins. Par exemple (j'indique les trémas en employant la lettre «e» placée après la voyelle concernée):

 

ANGLAIS

ALLEMAND

ALLEMAND

(masculin)

(féminin)

rancher

Viehzuechter

Viehzuechterin

(Etc)

 

 

 

 

 

 

Les Féministes de langue allemande ont tendance à proposer une politique opposée à celle des Féministes anglo-saxonnes. Alors que les Féministes anglo-saxonnes ont tendance à considérer les mots professionnels se terminant en «-er» ou en «or» comme étant neutre, les Féministes de langue allemande ont tendance à considérer les mots se terminant en «-er» comme étant spécifiquement masculins. Par conséquent, les Féministes de langue allemande ont tendance à préférer voir une version de la terminaison féminine «-in» dans de tels mots, afin de rendre les femmes «visibles» dans de telles professions.

Les Féministes de langue allemande et de langue anglo-saxonne ont pareillement tendance à ne considérer que ce que veulent les femmes -- ce que les hommes pourraient préférer, dans la plupart des cas, n'est pas pris en compte. En conséquence, la solution la plus branchée en allemand ces jours-ci consiste à utiliser le dispositif artificiel d'un «I» majuscule au milieu de ces mots, par exemple:

 

 

SINGULIER

PLURIEL

MASCULIN:

Viehzuechter

Viehzuechter

FÉMININ:

Viehzuechterin

Viehzuechterinnen

FÉMINISTE:

ViehzuechterIn

ViehzuechterInnen

 

 

 

 

 

 

Cette solution Féministe intègre à la fois les formes masculines et féminines dans un seul mot. Cela semble être une bonne idée, dans l'idéal, mais la réalité est que les versions écrites finissent par être beaucoup plus semblable aux formes féminines qu'aux formes masculines. La seule différence est le «I» majuscule, qui remplace un «i» minuscule. Dans l'allemand parlé, les nouvelles formes sont pratiquement les mêmes que les formes féminines. Cette solution est donc totalement inacceptable, du point de vue des Droits des Hommes.

Je ne sais pas ce que les Féministes de langue chinoise ont dit au sujet de leur langue, mais je m'attends à ce que il y a quelques thèses qui traînent quelque part qui examinent les caractères chinois à partir d'un point de vue Féministe.

Juste pour montrer que les Masculistes peuvent jouer eux aussi à ce jeu, je voudrais analyser le caractère très commun qui signifie «bon» (prononcé «hao»). Ceci est traditionnellement analysé comme étant composé du caractère «femme», à gauche, et du caractère «enfant», à droite. Certains experts affirment que ce n'est pas la dérivation correcte historique du caractère. Mon but n'est pas tellement de faire valoir que ce soit l'origine véritable du caractère -- je ne veux que démontrer le genre d'analyse qui pourrait être appliqué à des milliers de caractères. Cela pourrait faire apparaître, dans l'ensemble, une tendance pro-femme ou une tendance pro-mâle ou bien un quasi-équilibre entre les deux.

Cette dérivation, si elle est correcte, est tout à fait clairement sexiste, et elle désavantage les hommes dans les «batailles de garde», car elle implique que le lieu naturel d'un enfant est avec sa mère. Une version non sexiste du caractère pourrait avoir le caractère «être humain» à gauche, par exemple, au lieu du caractère «femme». Même si ce n'est pas la dérivation historiquement correcte du caractère, le fait que cela est traditionnellement considéré comme sa dérivation en dit long sur les attitudes sexistes anti-père dans les sociétés chinoises (comme dans d'autres).

 

7. La Solution de Hufeisen

Dans son article, «Warum das Deutsche keine Maennersprache ist» (ma traduction: «Pourquoi l'allemand n'est pas une langue masculine», que j'ai trouvé au Web à l'adresse: http://www.ualberta.ca/ ~ allemand / ejournal / maenner.htm), Britta Hufeisen essaie d'utiliser des arguments linguistiques pour soutenir les formes Féministes en allemand. Son intention est d'enlever l'argument de l'arène politique, en prenant une sorte d'approche anarchiste.

Elle écrit:

«Linguistisch kommt es jedoch darauf an, wer sich angesprochen fühlt: Wer sich bei der Bezeichnung 'Wissenschaftlicher Mitarbeiter' oder 'Assistenzprofessor' als nicht gemeint empfindet, so ist der Sprechakt nicht gelungen, auch wenn der Person von seiten der Verwaltung versichert wird, sie sei 'mitgemeint'.» (Ma traduction: Linguistiquement, pourtant, la question est de savoir qui se sent traité: Si quelqu'un ne se sent pas désigné par la dénomination «Wissenschaftlicher Mitarbeiter» (collègue scientifique) ou «Assistenzprofessor» (professeur adjoint), alors l'acte de parole n'a pas réussi, même si la personne est assurée par l'administration qu'elle ait également été incluse.)

Malheureusement pour elle, ce n'est pas tout à fait aussi simple que cela. Il ya trois personnes impliquées dans un acte de parole: celui qui parle/écrit, le destinataire, et la troisième, qui entend ou lit.. Pour qu'un acte de parole réussît, les deux premières parties, au moins, doivent finir par être en accord avec ce qui a été communiqué. Le destinataire n'a pas normalement le droit d'agir comme une femme coquette, en disant: «Je sais ce que vous entendez, mais je vais refuser de comprendre ce que vous voulez dire.» Ce serait, dans la plupart des circonstances, considéré comme jeu un peu puéril. La langue est un effort de collaboration, et les actes de parole réussis -- comme la plupart des activités sociales -- s'appuyer sur la coopération entre les personnes concernées.

La solution de Hufeisen n'est point de solution. La société s'attend à ce que les utilisateurs de la langue coopèrent les uns avec les autres. Si une femme Féministe refuse dans une conversation de se sentir désignée par un terme particulier, alors cela constitue un acte politique d'insurrection linguistique de sa part. Elle peut ou non finir par persuader la société de son point de vue à l'aide de ces tactiques-ci et d'autres tactiques. Cependant, il est très égocentrique et sexiste de Hufeisen simplement d'ignorer les intentions de celui qui parle/écrit, comme si elles étaient insignifiantes dans ce scénario.

"Betrachten wir das Ganze also aus der semiotischen Perspektive, so können wir feststellen, daß unser Problem kein sprachsystematisches ist, denn die deutsche Sprache hat bis auf ganz wenige lexikalische und syntaktische Lücken Bestände zur Bezeichnung für Frauen.» (Ma traduction: Si l'on regarde la question entière d'un point de vue sémiotique, alors on peut observer que le problème n'est pas un problème de la structure linguistique, car la langue allemande a de quoi désigner les femmes -- à l'exception d'un très petit nombre de lacunes lexicales et syntaxiques.)

En ce qui concerne cette question aussi je suis en désaccord avec Hufeisen. On a déjà vu que les linguistes Féministes n'ont pas jusqu'à présent trouvé une terminaison pour les noms qui soit neutre entre les hommes et les femmes dans les formes et parlées et écrites de l'allemand. Je ne sais pas s'il serait possible de trouver une telle terminaison. Ça me plairait de l'essayer moi-même, mais je ne suis pas un locuteur natif de la langue allemande, donc aucune solution que je trouverais serait de toute façon probablement politiquement inacceptable.

 

Préface

Introduction

Chapitre 1: Le Narcicissisme et le pouvoir politique féministes

Chapitre 2: La Circoncision

Chapitre 3: Le Viol: vouloir le beurre et l'argent du beurre

Chapitre 4: La Violence familiale et l'attrappe aux hommes

Chapitre 5: Les Accusations fausses et les mensonges au sujet de l'abus des enfants

Chapitre 6: Le Mensonge du «système de justice masculin»

Chapitre 7: L'emploi et le mensonge que «les femmes savent/peuvent tout faire»

Chapitre 8: Les Mensonges concernant l'éducation

Chapitre 9: Les mensonges, les sacrés mensonges, et les statistiques de l'ONU

Chapitre 10: Le Mensonge concernant «l'égalité»

Chapitre 11: Le Mythe du Choix et de l'avortement

Chapitre 12: Le Langage sexiste: Est-ce que la diable pense qu'elle soit mâle?

Chapitre 13: L'Indoctucation pratiquée par le complexe Média-universitaire

Chapitre 14: L'Illusion du décideur

Annexe: Les Manifestations historiques du Féminisme

Remarques

Bibliographie

FAQ

Webmaster

Peter Douglas Zohrab

Latest Update

15 June 2015

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