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Une hystérie anti-hommes

© John Goetelen 2007

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Depuis une dizaine d'années, les fausses accusations sont
devenues une arme privilégiée pour casser de l'homme à
coup sûr. L’air du temps est misandre. Contre les hommes,
la parole des fausses accusatrices est crue à priori, comme
le disait dans une interwiew la juge d’instruction Tombesi-
Mumenthaler à Genève il y a quelques années. La parole
des enfants accusateurs aussi, manipulés ou non, parmi lesquels
on trouve surtout des jeunes filles. La parole des
hommes est systématiquement suspectée, voire déniée.
Dans cette époque de surenchère de chiffres, on peut dire
n’importe quoi et son contraire. Les chiffres sur le viol en
sont un exemple. “Les Chiennes de garde”, association
féministe radicale, cite en date du 27 octobre 2001 les résultats
de l’enquête de l’ENVEFF sur la violence envers les
femmes (extrait):

“L’Enquête sur les violences faites aux femmes en France
(ENVEFF) fait apparaître qu’une femme sur trois au cours
de sa vie a été victime de viol, violences ou agression
sexuelle (3). On estime que le nombre de viols en France se
monte à environ 48 000 par an.”

Référence: http://www.chiennesdegarde.org/article.php3?id _article=89

 

 

50% à 80% de fausses accusations

Or que disent les statistiques en France? Nombre de viols
déclarés: 1998: 7828 - condamnations: 1636; 2000: 8458 -
condamnations: 1623; 2001: 9574 - condamnations: 1656.
Soit environ 3% des 48’000 viols prétendus par les
Chiennes de garde. 48’000, soit 30 fois plus que les viols
déclarés. Est-ce bien réaliste?

On constate aussi que seuls 20% des viols déclarés aboutissent
à une condamnation, soit 80% d’acquittements ou de
classements sans suite. Que deviennent ces 80% de plaintes
restantes? Certes, il peut être difficile pour une femme de
prouver les faits. Comme pour les hommes maltraités! Par
contre, on connaît déjà le taux officiel des fausses plaintes
dans certains pays. Les USA sont visiblement en tête des
fausses accusations: environ 50% de plaintes ont été
démontrées fausses, ou bien l’accusatrice a avoué son men-
songe. Pour les autres plaintes: celles qui sont non fondées
et aboutissent à l’acquittement ne figurent pas dans ce taux;
on peut donc estimer à beaucoup plus le nombre de plaintes
fausses et/ou sans fondement! (Référence: "Kanin, Eugene
J., Ph.D. "False Rape Allegations." Archives of Sexual
Behavior
, Vol. 23, No. 1 (1994), pp 81-92"). Au Québec,
selon les chiffres de Fathers4justice, il y aurait environ
70% d’accusations fausses (voir plus haut). Et les criminelles
qui commettent de tels actes ne sont quasiment
jamais poursuivies, même après avoir brisé sans scrupule la
vie d’un homme. L’article ci-contre n’en est que l’une des
trop nombreuses illustrations. Des femmes peuvent aussi
être victimes de fausses accusations, et nous les soutenons.
Toutefois ce genre de criminalité est utilisée essentiellement
contre des hommes.

 

Justice sexiste

La justice se moque des hommes. La justice ne se respecte
plus elle-même. La justice fait de l’outrage à citoyen, dans
cette disproportion entre ce qu’elle a fait subir à cet homme
et sa mansuétude envers la criminelle. Le message est clair:
les fausses accusatrices ne risquent rien, elles sont protégées
par les juges. Et ce n’est pas une exception.

Citons aussi ces quelques brèves fournies par un journaliste
canadien, Pierre Richard, dans le Journal de Montréal
(25/07/2006):

Le syndrome de la femme battue est un argument de poids
devant les tribunaux québécois. À Québec, le 22 septembre
1995, Micheline Vaillancourt abat son mari Raymond Naud
qui fait une sieste. Reconnue coupable de meurtre au
deuxième degré, elle est plus tard acquittée.

Dans le district judiciaire de Gatineau, Rita Graveline abat
son mari Michael Graveline alors qu'il dormait. Elle est
acquittée. On a fait allusion au syndrome de la femme battue.
Mais la Cour d'appel ordonne un nouveau procès.

En Abitibi, en 2002, Sandra Stawdinger est acquittée d'une
accusation de meurtre sur la personne de Michel Marois.
La poursuite a décidé de porter la cause en appel. L'appel
a été refusé.

Il y a un mois, Christine Brousseau a obtenu un nouveau
procès pour voies de fait graves. Elle avait ébouillanté son
conjoint avec de l'huile et l'avait poignardé. Elle a été
acquittée de tentative de meurtre.

phrichard@journalmtl.com

 

Ce ne sont en l’occurence pas des fausses accusations, mais
des meurtres, et même dans ce cas la justice trouve des
excuses aux femmes criminelles.

Il y a maintenant clairement 2 poids et 2 mesures dans
la justice, en Europe et en Amérique du Nord: une justice
pour les femmes, douce, laxiste, qui excuse tout et
absout les crimes, et une justice pour les hommes, dure,
intransigeante, aveugle, qui se moque de la présomption
d’innocence et met en prison des dizaines de milliers
d’innocents.

Il paraît que le féminisme veut l’égalité? On ne l’entend pas
sur ce sujet. Et pour cause: c’est bien la stratégie de ce féminisme
extrémiste anti-homme que d’obtenir une justice à
deux vitesses. Les femmes qui accusent ou tuent le font en
légitime défense! Une bien curieuse vision du droit: une
vision sexiste, tout simplement.

 

Les cibles

Les fausses accusations se sont d’abord répandues contre
les pères en situation de divorce. Cibles de choix, puisqu’à
la clé il y a la garde exclusive des enfants par la mère et
l’élimination durable voire définitive du père. L’estimation
d’avocats et d’anciens policiers est de 70% à 80% de
fausses accusations. Depuis 30 ans, la justice n’a pas
changé: dès qu’une mère accuse, le père est cassé, les
enfants lui sont retirés, sans aucune réelle vérification.

Ces juges incompétents et partiaux, ces mères au comportement
de délinquantes, réalisent-ils les dégâts qu’il font pour
toute la vie chez ces enfants-otages, ces enfants-prétextes?
La justice est mal placée pour invoquer le bien des enfants:
elle l’utilise comme un leurre pour casser de l’homme.
Pendant longtemps, les pères faussement accusés se taisaient,
accablés, méprisés par le système judiciaire et la protection
de l’enfance. Combien d’innocents ont été mis en
prison? Difficile à estimer. Beaucoup, probablement.

En France, la liste des hommes faussements accusés s’est
considérablement allongée grâce à Ségolène Royal, qui a
fait envoyer des centaines de professeurs innocents en prison
entre 1997 et 2002. (73% de fausses accusations selon
la mutuelle enseignante Autonome de solidarité. Lire:
L’école du soupçon, de Marie-Monique Robin, Ed. La
Découverte, et voir le site: http://jamac.ouvaton.org/collectif_ jamac.htm ).

Puis cette délinquance pénale a occupé le terrain des relations
de couple. Les fausses accusations sont maintenant
très répandues dans les toutes les cours de justice occidentales.
Comme les juges croient les femmes a priori, la cause
des hommes est bafouée allègrement par l’institution même
qui est tenue de protéger les valeurs démocratiques.

 

Comment est-ce possible?

L’acharnement anti-hommes actuel se nourrit en partie
d’une culpabilisation des hommes par rapport aux femmes.
Celles-ci ont été exclues de la vie sociale et économique par
le Code Napoléon, qui a influencé toute l’Europe pendant
150 ans. Beaucoup d’hommes s’en sentent encore coupables.
Le idéologues misandres se sont engouffrés dans cette
culpabilité. «Tous les hommes sont des violeurs», slogan
déjà ancien, a laissé des traces. La théologie misandre a
trouvé là un bon créneau, produisant les théories de genres
selon lesquelles toute violence est masculine, même celle
exercée par des femmes. Cela nourrit la guerre des sexes,
laquelle guerre rapporte beaucoup aux organisations misandres
(par exemple, plus de 500 millions de dollars canadiens
par année rien qu’au Québec).

 

Mais comment une femme peut-elle prendre un tel risque
puisqu’une fausse accusation est un délit pénal grave?

  1. Certaines sont facilement prêtes à passer à l’acte. Tous les
    délinquants et criminels prennent des risques: pourquoi en
    serait-il autrement ici?

  2. Ces fausses accusatrices savent bien que les tribunaux
    leur donnent raison a priori. De plus, dans ce genre d’affaire
    l’accusatrice n’a aucune preuve à apporter sauf sa parole.
    L’inversion systématique du fardeau de la preuve, le déni de
    la présomption d’innocence, obligent l’homme à apporter
    les preuves contraires aux accusations. On en est comme
    aux pires moments de l’inquisition ou du nazisme: il suffisait
    que n’importe qui dénonce pour que le suspect soit
    condamné.

  3. Le féminisme victimaire et anti-homme entretient dans le
    public et auprès des médias et des tribunaux l’idée que les
    femmes sont toujours victimes, avec des chiffres surréalistes
    que personnes ne vérifie. Les groupes qui se réclament
    de ce féminisme font leurs affaires en entretenant une
    psychose sociale sur ce thème.

  4. Des avocates coachent leurs clientes pour les faire gagner
    même dans des dossiers vides. Elles leurs apprennent les
    mots qu’il faut dire, les attitudes qui feront mouche à tous
    coups auprès de juges pour qui le discernement et l’analyse
    des dossiers sont des notions étrangères.

  5. Les experts sont généralement crédules, vérifient très peu
    les dires des accusatrices, et rendent régulièrement des
    conclusions en leur faveur. Beaucoup de ces délinquantes
    ont préparé leur porte de sortie, au cas où cela tournerait
    mal pour elle: la folie, le trouble de la responsabilité, l’irresponsabilité,
    que les tribunaux leur accordent facilement
    dans leur grande mansuétude sexiste. Cela pose la question
    de savoir si les femmes sont un genre moins fiable que les
    hommes... En réalité, il s’agit d’une stratégie mise en place
    par les idéologues misandres.

En Suisse, nous avons connu il y a quelques années l’affaire
Borer. Thomas Borer était ambassadeur de Suisse à Berlin.
Accusé de viol, il a du quitter ses fonctions. Son accusatrice
a touché 60’000.- CHF pour des interviews, et aurait
reconnu son mensonge des années plus tard.

Les fausses accusations sont donc devenues une arme de
choix dans la guerre faite aux hommes. Une arme qui
détruit pour très longtemps, parfois pour le reste de la vie,
et qui peut mener au suicide celui qui la subit.

 

Les hoministes proposent

Dans le point 9 de leur Manifeste, les hoministes « demandent
que soient reconnues et combattues les violences
contre les hommes, comme le sont les violences contre les
femmes ». Dans le domaine des fausses accusations, ils prônent
les mesures éducatives, sociales ou législatives suivantes
:

 

 

DOCUMENTATION

DUPUY, Georges. Coupable d’être un homme. VLB, 2000

BENSUSSAN Paul, RAULT Florence. La dictature de
l’émotion. Belfond, 2002

ROBIN, Marie-Monique. L’école du soupçon. La découverte, 2006

MADEIRA, Virginie. J’ai menti. Stock, 2006

KOCHTCHOUK Oleg. La tendresse suspecte. Ed.
Cabedita, 2002.

GOETELEN John. La femme est-elle vraiment l’avenir de
l’homme? Ed. Oser dire. (L’histoire vraie d’une fausse
accusation). Site: http://www.hommecible.com .

http://perso.orange(POINT)fr/comitedes6 : comité de soutien aux accusés d’Outreau

http://jamac.ouvaton.org : JAMAC (enseignants victimes – France)

http://TousEgauxDevantLaLoi.isuisse.com (soutien à une
application équitable des procédures judiciaires)

http://www.mediaradar.org/docs/VAWA-A-Culture-of-False-Allegations.pdf

Voir aussi: http://www.la-cause-des-hommes.com
http://www.parolesdhommes.com .
où des liens vous mèneront également vers d’autres sources
d’information.

 

FAQ

Webmaster

Peter Douglas Zohrab

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11 November 2022

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