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Le Sexe, les mensonges et le féminisme

par Peter Zohrab

Traduit de l'édition en anglais de 1999 par l'auteur

Chapitre 5: les Accusations fausses et les mensonges au sujet de l'abus des enfants

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1 Introduction

Les sociétés occidentales ont été dans un état de paranoïa collective au sujet des abus sexuels des enfants par des hommes. Les thérapeutes ont encouragé leurs patients adultes d'attribuer une vaste gamme de symptômes à l'état d'avoir été victime d'abus sexuels commis par un homme pendant leur enfance. Les femmes ont utilisé des accusations de maltraitance d'enfants de plus en plus comme une arme dans les conflits de garde d'enfants. Cela a été un état d'esprit induit par les médias, qui ont sucé de la propagande anti-mâle à partir de sources féministes et l'ont crachée presque aveuglément sur le public naïf que nous sommes. En fait, jusqu'à assez récemment, lorsque j'ai commencé à porter intérêt à ce sujet, j'avais moi-même la vague impression que «la maltraitance des enfants» et «l'abus sexuel des enfants» étaient exactement la même chose!

 

 

2 Abus des enfants et exploitation sexuelle des enfants

En fait, le résumé statistique des Etats-Unis 1992 (tableau n° 301) signale que, en 1976, la maltraitance sexuelle ne représentaient que 3,2% du nombre total de cas de maltraitance envers les enfants signalés aux Etats-Unis. Même en 1986, en dépit de l'énorme quantité de publicité que ce type de crime avait reçu, et en dépit de la négligence comparative d'autres types de maltraitance envers les enfants par les médias, ce pourcentage n'avait grimpé qu'à 15,7% du total.

En 1976, tous les autres types énumérés de violence envers les enfants (privation des nécessités à 70,7%, la violence psychologique à 21,6%, les blessures mineures physique à 18,9%, et d'autres mauvais traitements à 11,2%) étaient plus fréquents que la maltraitance sexuelle. Même en 1986, la maltraitance sexuelle était encore en troisième place derrière la privation des nécessités à 54,9% et les autres mauvais traitements à 21,6%. Malgré tout le battage médiatique encourageant les gens à signaler les allégations aux sévices sexuels, il est intéressant de noter que l'écrasante majorité des auteurs était encore des femmes!

En plus, en 1986 - l'année dernière où le Résumé statistique des Etats-Unis a été autorisé à signaler le sexe des auteurs de la maltraitance des enfants - 55,9% des auteurs étaient des femmes. Dans les 11 ans de 1976 à 1986 (inclusivement), le pecentage des auteurs qui étaient des femmes variait entre un minimum de 55,9% en 1985 et en 1986 à un sommet de 61,9% en 1979.

Il semble clair à partir de ces preuves et d'autres qu'aux États-Unis:

La plupart des cas de maltraitance d'enfants ne sont pas de nature sexuelle;

La plupart des auteurs de maltraitance envers les enfants sont de sexe féminin;

La rectitude politique dans les médias et dans la bureaucratie dissimule ces faits;

La maltraitance sexuelle des enfants par les hommes a été utilisée comme une arme de propagande anti-mâle par les féministes.

La rectitude politique dans les médias et dans la bureaucratie a coopéré à cette guerre de propagande.

 

 

3. Abus sexuel

 

Thomas (1993) souligne que les femmes sont plus susceptibles de frapper les enfants que les hommes -- pour la simple raison que ce sont les femmes qui effectuent la plupart des garde d'enfants et de l'éducation des enfants.

«Cela nous laisse avec l'abus sexuel. De toute évidence, les femmes ne le font pas de la même manière que les hommes. Elles n'ont pas de pénis avec lequel elles pourraient pénétrer leurs enfants. Ce qu'elles font au lieu de ça, comme ceux qui l'ont souffert vous diront, c'est envelopper et écraser leur petite victime. L'expérience peut laisser ces victimes psychologiquement mutilés.

Pour Kerry, ... l'effet de l'abus commis par sa mère avait été de le rendre l'une des victimes automatiques de la vie. Sa mère était souvent entrée dans le lit avec lui, s'était couchée sur et autour de lui et lui avait caressé les organes génitaux. Maintenant adulte, il était le genre d'homme qui semblait toujours s'apprêter à se blottir dans le coin le plus proche disponible. Tout au long de son enfance et de son adolescence, il avait été impitoyablement harcelé et souvent frappé par des gangs à l'école et dans la rue .... Le langage de corps de Kerry a crié son impuissance. Dans la jungle urbaine, c'était une proie facile.» (Thomas, 1993, pages 135-6)

En Décembre 1991, un canal de 1 télévision a rapporté les résultats d'une enquête, selon laquelle un tiers des femmes auraient eu une sorte d'expérience sexuelle non désirée (par exemple «attentat à la pudeur") avant l'âge de 16 ans. Mais peut-on croire que tous ces événements n'étaient pas désirés?

J'aurais voulu que l'enquête comprenaît des questions sur le nombre d'événements de nature sexuelle désirés que ces femmes avaient éprouvé avant l'âge de 16 ans. Si le nombre d'événements indésirables était beaucoup plus important que le nombre d'événements désirables (selon les femmes, du moins), alors je soupçonnerais qu'elles ne disaient pas la vérité. Est-ce que les femmes commencent à vouloir des événements sexuels à exactement l'âge de 16 ans? Les femmes ont-elles une énergie sexuelle plus faible que celle des hommes? (La plupart des féministes ne seraient point d'accord avec cela!)

Il est si facile pour une femme de dire, après l'événement, qu'elle aurait pris part à un épisode sexuel à contre-coeur. Les femmes prennent généralement (mais pas toujours, bien sûr) un rôle passif -- surtout en ce qui concerne le commencement des rapports sexuels. Mais si un homme a eu une érection, il ne peut pas très facilement prétendre que cela ne lui avait pas fait de plaisir2.  Il est possible d'avoir une érection qui ne fait pas plaisir, mais ça doit être un événement assez rare. Quoi qu'il en soit, les hommes sont conditionnés socialement à vouloir et à jouir du sexe (hétérosexuel) sous presque toutes les circonstances.

Thomas (1993) soulève également la question de savoir combien endommageur est «l'abus sexuel» vraiment. C'est un crime très en vogue - l'un des types de crime les plus médiatisés de la fin du 20ème siècle. Néanmoins, Thomas cite une étude de la police allemande qui a constaté que peu de «victimes» d'abus sexuels subi aucun préjudice réel de l'abus lui-même. Cependant, certains enfants souffrent des préjudices résultant du processus d'enquêter sur les cas d'abus sexuel présumé.

Dans de tels cas, le consentement de l'enfant est réputé pour être hors de propos. Les enfants sont censés être trop jeune pour savoir ce qu'ils font dans de telles situations. Ceci est trompeur, car les enfants ont une sorte de sexualité. Elle est, bien sûr, différente de la sexualité adulte. Les enfants tirent du plaisir de toucher leurs parties intimes. J'ai également rencontré, au fil des ans, quelques jeunes filles très jeunes initier des conversations explicites à caractère sexuel, ce qu'elles apprennent à ne pas faire quand elles grandissent, dans de nombreux cas. Et pas mal de jeunes enfants ont du plaisir à regarder les parties intimes du sexe opposé.

Néanmoins, la Société a le droit de fixer des limites d'âge pour marquer le passage de l'enfance à l'âge adulte. Ces limites d'âge peuvent réglementer l'institution du mariage, les relations sexuelles, la censure des informations p0rnographiques et violentes, et ainsi de suite. La plupart des parents doivent sûrement se sentir une horreur forte s'ils pensent que certains adultes (en particulier un étranger) pouvaient avoir des rapports sexuels consentants ou non consentants avec leurs enfants non-adultes.

Je connais quelqu'un qui a téléphoné à un ministère de l'amélioration sociale 2 de façon anonyme, parce qu'il avait peur que sa partenaire féminine aurait agressé sexuellement leur fils en bas âge. Presque la première question que l'assistante sociale féminine a posée était: «Est-ce que le garçon a eu des érections à ces moments-là?» Il paraît que oui, mais qu'est-ce que cela a à voir avec cela? Quand on condamne les hommes pour avoir agressé sexuellement les jeunes filles, je suis sûr qu'on ne demande pas si les filles avaient eu des réactions physiques sexuelles.

Pas étonnant que peu de gens pensent que l'abus sexuel des garçons commis par des femmes est un problème, en dépit du fait que les mères ont une possibilité beaucoup plus importante de molester leurs enfants, dans la plupart des cas, que les pères. Encore une fois je demande: les femmes ont-elles une énergie sexuelle plus faible que celle des hommes?

La propagande féministe décrit les femmes comme victimes du sexe masculin. Ce message nous est enfoncé dans la tête avec une efficacité dont Goebbels aurait été fier. Mais, une dimanche, j'ai été à la plage d'Otaki, en Nouvelle-Zélande, juste avant qu'on a arrêté une personne pour un viol d'enfant très médiatisé à Otaki, et pendant que je marcahis du magasin qui était près de la plage jusqu'à la plage elle-même, une jeune fille d'environ dix ans qui distribuait des journaux (ou quelque chose de la sorte) a jeté un coup oeil vers moi, au moment où je la dépassais, et a dit quelque chose doucement à une autre fille (d'environ le même âge), qui portait des patins à roulettes.

Il y avait une légère pente vers le haut dans le sentier, et la fille aux patins est venue vers moi et a dit: «Salut! il est dur de monter cette colline!" Évidemment, cela était une invitation à moi de lui donner un coup de main et de me rendre soupçonné de pédophilie. Peut-être que je suis paranoïaque, mais les jeunes filles n'approchent pas généralement les étrangers de cette façon, à ma connaissance. J'ai entendu dire que de nombreux avocats de sexe masculin sont aussi «paranoïaques» - certains ont une politique de ne jamais donner un bain à leurs enfants, par peur qu'ils seront par la suite accusés d'abus sexuels devant les tribunaux, si la relation se brise.

Je suis professeur, et j'ai eu une expérience d'une jeune fille qui se mettait dans une situation où elle espérait évidemment que son enseignant de sexe masculin prendrait l'initiative et serait dan la peine. Les syndicats d'enseignants, ces jours-ci, mettent leurs membres en garde sur ce genre de chose. Les femmes devraient être punies par le système juridique si elles manœuvrent les hommes dans des situations où les hommes prennent des initiatives concernant lesquelles les femmes peuvent alors porter plainte auprès de la police.

Un autre aspect important des allégations d'abus sexuels, c'est que certaines d'entre elles sont faites par des adultes concernant des événements qui s'etaient censément produits quand ils étaient jeune. Le scénario typique est que l'adulte ne se doutait pas que quelque chose de la sorte s'était jamais arrivé jusqu'à ce que ils sont allés voir un thérapeute. Dans certains pays, le thérapeute obtient un financement d'état et le patient obtiend 3 une indemnisation de l'état - à condition qu'ils puissent «récupérer» ensemble les souvenirs de certains abus que le patient aurait subis lors de son enfance. Cela est connu sous le nom «syndrome des faux souvenirs», et peut aboutir à l'accusation et même la condamnation de personnes innocentes et à la destruction des familles.

Un autre contexte commun où se trouvent les accusations de l'abus sexuel d'enfant est lors du divorce et de la séparation des couples. Le scénario typique est que la mère porte des accusations que le père aurait agressé sexuellement l'un ou plusieurs des enfants. Cette accusation n'a pas besoin d'être prouvée, mais elle est suffisante pour presque garantir que la mère obtienne la garde exclusive des enfants. De telles accusations devraient avoir à être prouvées devant un tribunal avant d'avoir un effet quelconque sur les décisions au sujet de la garde.

 

4.  L'infanticide et l'abandon des enfants

Nous savons tous combien il est facile pour une femme d'obtenir un avortement dans les pays occidentaux. La loi dispose généralement que la santé mentale de la mère, ou quelque chose de la sorte, doit être à risque, mais nous sommes tous conscients de la façon lâche dont ces choses sont interprétés, dans la pratique. Vous et moi, nous avons eu de la chance, à mon avis, que nos mères n'ont pas eu envie de nous avorter!

Mais une fois que nous sommes en fait nés, nous pouvons pousser un soupir de soulagement, et nous n'avons plus à nous soucier que notre mère pourrait nous tuer sans pénalité. Ce n'est pas vrai?  Il s'avère que l'infanticide, commis par des femmes seulement, est équivalent à l'avortement par d'autres moyens - et les mère peuvent s'en tirer à bon presque aussi facilement que dans le cas de l'avortement, dans certains pays occidentaux.

Comme un 4 hebdomadaire populaire l'a bien dit: «Même si cela implique la prise de la vie, sans doute aucun autre crime n'est traité de façon aussi sympathique par notre système juridique que l'infanticide.» En dehors de l'avortement, bien sûr, mais ceci est un crime tout à fait légal, dans la plupart des cas. Je me demande si le lobby pro-choix va maintenant commencer à faire campagne pour le droit des femmes à tuer leurs enfants mineurs si la santé de la mère est en danger?

Cet article a posé la question des droits des hommes à l'égalité des sanctions pour les hommes et les femmes pour les crimes égaux. La législation pertinente 5 exige que l'équilibre de l'esprit de la mère a dû être dérangé au moment du crime d'infanticide, avant qu'elle puisse s'en tirer sans sanction. En fait, cette clause est interprétée de façon si libérale qu'elle n'a pas réellement besoin du tout d'avoir eu un esprit déséquilibré. L'article poursuit en disant qu'un père qui tue son enfant peut recevoir une peine de prison de 20 ans, tandis qu'une mère qui fait la même chose sera généralement condamnée simplement à la psychothérapie!

Comme Thomas (1993) le dit, l'infanticide est une forme finale de la maltraitance des enfants. Il cite des chiffres provenant des États-Unis qui montrent qu'il est commis principalement par des femmes (55,7% des cas) sur des enfants de sexe masculin (53,7% des cas). Il souligne à juste titre que c'est exactement le contraire de l'image de propagande que peignent les médias dominés par les féministes. L'infanticide reçoit très peu de publicité, en comparaison avec l'abus sexuel. Mais la plupart des gens seraient d'accord que l'infanticide est un crime beaucoup plus grave que l'abus sexuel. Après avoir subi des violences sexuelles, après tout, on est toujours vivant, du moins!

Lyndon («Plus de Guerre des Sexes: Les défaillances du féminisme», Londres: Sinclair-Stevenson, 1992) cite des chiffres provenant de l'Angleterre et du Pays de Galles en 1989 concernant les âges des victimes de meurtres (à l'exclusion des fœtus avortés). Le groupe «Moins d'un an», avec 28 victimes par million d'habitants, est de loin le groupe le plus important. Le deuxième groupe en importance se situe à 16 victimes par million d'habitants -, mais ceci comprit les 14 ans entre les âges de 16 et 29 (inclusivement) - pas seulement douze mois, comme le groupe «Moins d'un an».

«La plupart de ces bébés sont tués par leur mère. Beaucoup d'entre eux sont battus jusqu'à la mort. Ce crime n'est pas considéré comme un meutre. Il existe dans la catégorie distincte de l'infanticide. Les auteurs sont accordées un traitement spécial auprès des tribunaux et sont très peu probable d'être condamnées à une longue période de détention.» (Lyndon 1992, pp 37-38)

Mais la plupart des auteurs n'entrent même pas en proximité des tribunaux. Comme Thomas (1993) le souligne, la police ne semble pas être intéressée à arrêter des gens pour l'infanticide - parce que les délinquantes sont surtout des femmes!  En Grande-Bretagne en 1989-1990, par exemple, rien que 2% des cas d'infanticide ont été résolus par la police! Il serait utile de savoir si les délinquantes étaient principalement les mères des victimes. «Malheureusement», écrit Thomas (1993, page 145), «les chiffres s'évaporent, une fois que les hommes cessent d'être les méchants.»

 

5.  Les fausses accusations de viol et d'abus sexuels

Certaines féministes aiment prétendre qu'aucune femme ne se mettrait dans une affaire judiciaire de viol si elle n'était pas vraie, mais ce n'est évidemment qu'encore un mensonge féministe. Je suis sûr qu'il doit être terrible pour une victime de viol véritable de subir un procès - mais pourquoi une plaignante fausse subirait-elle aucune angoisse quand elle a menti afin de poursuivre une vendetta personnelle?

Eugene Kanin («Allégations de viol fausses», Archives of Sexual Behavior, vol 23, no 1, 1994) a étudié les allégations de viol dans une petite communauté métropolitaine aux États-Unis qui ont été faites pendant neuf ans. Dans cette période, il a constaté que 41% des allégations de viol faites étaient fausses - de l'aveu même de la plaignante! Il a bien sûr pu en avoir d'autres qui étaient fausses, mais où la plaignante n'a pas admis qu'elles étaient fausses. Il déclare:

«Ces allégations fausses semblent servir trois fonctions principales pour les plaignantes:. Fournir un alibi, la cherche à se venger, et l'obtention de la sympathie et de l'attention.»

De même, les féministes ont perpétré le mythe que les enfants ne mentent jamais en cour sur les abus sexuels. Ce n'est que encore de la propagande féministe. L'article «Menteur! Menteur!» dans le New Scientist du 14 février 1998 rapporte qu' à l'age de trois ans les enfants sont parfaitement capables de duper habilement d'autres personnes, selon les recherches effectuées à l'Université de Portsmouth.

Voici le premier paragraphe d'un article de nouvelles6 sur une fausse accusation.

«Un homme a été acquitté de blesser une femme après que la police avait donné une nouvelle preuve à la Cour d'appel que la blessure à la jambe de la femme peut avoir été auto-infligée.»

L'article explique ensuite qu'un policier avait pris conscience que la plaignante avait déjà fait deux plaintes fausses d'avoir été tailladée ou coupée par un homme.

La police a-t-elle poursuit cette femme pour avoir fait une plainte fausse? Non, mais pourquoi pas?

Les plaintes fausses sont un thème des Droits Masculins important, parce que les hommes sont accusés de crimes beaucoup plus que les femmes. Que l'infraction reprochée soit une agression, un viol, de l'abus sexuel, ou de quelque autre crime, personne ne voudrait être condamné pour quelque chose qu'il n'avait pas fait, bien sûr.

L'homme qui a été acquitté en Cour d'appel avait initialement été condamné à dix mois d'emprisonnement par la Cour de district, à cause des faux témoignages de cette femme. Il a passé quelque temps en prison en détention provisoire, ainsi que six semaines de sa peine elle-même avant l'appel.

Il me semble juste que cette femme devrait également être condamnée à une peine de dix mois pour son parjure et fausse plainte.

La ligne de conduite de la police dans certains pays semble être qu'elle n'aime pas poursuivre les personnes pour avoir porté de fausses plaintes, afin que les gens naient pas peur de porter des plaintes véritables. Mais on voit dans le journal de temps en temps des cas où la police a fait l'objet de poursuites de quelqu'un pour la fabrication de fausses plaintes.

Donc, ce que je voudrais savoir, c'est comment la police décide-t-elle si elle va poursuivre une personne pour faire une fausse plainte? Je soupçonne que les hommes sont beaucoup plus susceptibles d'être poursuivis en justice pour faire une fausse plainte que les femmes.

J'ai écrit à la police en demandant des détails de ses poursuites pour fausses plaintes, selon la catégorie de crime en cause. Elle m'a répondu qu'elle ne tienne pas de telles statistiques, qu'elle ne voudrait pas les compiler pour moi, et qu'elle ne me laisserait pas examiner ses fichiers moi-même.

Ni le Médiateur ni la «Police Complaints Authority» m'ont pu aider. J'ai l'impression qu'il ya quelque chose qui se passe ici qui ne devrait pas être caché.

Dans l'année se terminant le 31 Décembre 1993 7, près de 40% des cas de violation sexuelle qui ont été résolus ont été déclarés comme «aucune infraction». En d'autres termes, quand quelqu'un a affirmé qu'une violation sexuelle eût eu lieu, et quand les policiers ont pu arriver à une décision au sujet de ce qui s'était passé, près de 40% des cas comportaient des allégations fausses. En chiffres réels, 361 cas étaient dans la catégorie «aucune infraction» . Et, bien sûr, une partie des 60% des gens qui ont été crus par la police avoir commis une infraction aurait été acquitté plus tard par un tribunal.

Cela signifie qu'un très grand nombre de fausses allégations sont commises par des femmes, dans le seul domaine de la violation sexuelle. J'aimerais savoir combien de personnes sont poursuivies à cause de ces fausses allégations - Je parie que c'est très peu! Ce que je veux dire c'est qu'il n'y a absolument rien qui empêche les femmes de faire ces fausses allégations, à moins qu'elles ne peuvent être poursuivies.

Les policiers ne sont pas Dieu, ni le sont les tribunaux. Ils peuvent tous faire des erreurs. Il est probable que certaines au moins des fausses accusations vont se traduire en condamnations injustifiées.

Les fausses plaintes de viol et de l'abus des enfants sont d'une manière dont les femmes oppriment les hommes dans la société actuelle. Neil Foord a été emprisonné pour un viol qu'il dit qu'il n'avait pas commis. Il a mené une campagne visant à rendre les gens conscients du problème de fausses plaintes de viol.

Les femmes qui font de fausses accusations de viol, etc, ne devrait pas s'en tirer en bon compte, ou même sans être punie, comme cela semble se produire à l'heure actuelle. Elles devraient payer la même peine que leurs victimes auraient payée si on avait cru leurs fausses accusations.

En outre, comme le dit Neil Foord, il devrait y avoir une compensation pour les hommes faussement accusés ou reconnus coupables de viol, les restrictions actuelles sur le contre-interrogatoire des plaignantes de viol devraient être enlevées, les récompenses monétaires pour les fausses plaintes de viol devrait être supprimées, et il devrait y avoir des directives émises à la police pour s'enquérir de plus près les motifs de plaintes de viol.

Les personnes qui font de fausses accusations (comme des accusations d'abus ou de viol sexuel des enfants) devraient être poursuivies automatiquement par la police et les sanctions devraient être équivalentes aux peines encourues dans le type de crime auquel la fausse accusation est liée. Cela est nécessaire pour son effet dissuasif.

Un équilibre doit être atteint entre:

le besoin de la société de se protéger contre les abuseurs sexuels et les violeurs, et

la nécessité de protéger les personnes innocentes contre:

des souvenirs fabriqués d'abus supposé dans l'enfance produits dans l'esprit des adultes par des conseillers féministes

de fausses accusations de viol.

 

Préface

Introduction

Chapitre 1: Le Narcicissisme et le pouvoir politique féministes

Chapitre 2: La Circoncision

Chapitre 3: Le Viol: vouloir le beurre et l'argent du beurre

Chapitre 4: La Violence familiale et l'attrappe aux hommes

Chapitre 5: Les Accusations fausses et les mensonges au sujet de l'abus des enfants

Chapitre 6: Le Mensonge du «système de justice masculin»

Chapitre 7: L'emploi et le mensonge que «les femmes savent/peuvent tout faire»

Chapitre 8: Les Mensonges concernant l'éducation

Chapitre 9: Les mensonges, les sacrés mensonges, et les statistiques de l'ONU

Chapitre 10: Le Mensonge concernant «l'égalité»

Chapitre 11: Le Mythe du Choix et de l'avortement

Chapitre 12: Le Langage sexiste: Est-ce que la diable pense qu'elle soit mâle?

Chapitre 13: L'Indoctucation pratiquée par le complexe Média-universitaire

Chapitre 14: L'Illusion du décideur

Annexe: Les Manifestations historiques du Féminisme

Remarques

Bibliographie

FAQ

Webmaster

Peter Douglas Zohrab

Latest Update

21 March 2016

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